INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

jeudi 12 janvier 2023

Revu à la baisse, revu à la hausse.

         En Septembre 2020 juste  après son élection, l'exmaireduvillage   proposait la  création  d'un pole  culturel  entre  l'avenue Foch, la rue  d’Estienne  d'Orves  et  la  rue  Louis  Blanc à la  place  du Calase,   des  anciens  bains  douches  et  de  l'ancien bâtiment  de  la  Sécurité  sociale comprenant, un nouveau conservatoire, des  salles  de  cinémas et  des  studios de  répétition. Le cahier des charges  imposait la conservation des  anciens bains  douches  actuellement Maison des  clubs  On avait eu droit  a des  projets  d'un néoclassicisme  très  kitsch avec même  un théâtre style  XIIXème.

 





et le  projet retenu avait été  celui là plus contemporain (Atelier  Novembre):


 

 

Aujourd'hui , il faudra se  contenter  d'un  complexe regroupant plusieurs  salles  de cinémas (voir  ler  bulletin municipal):




Le  pole  culturel est enterré, seules  subsistent  trois  salles  de  cinéma semi-enterrées et  un jardin suspendu, un choix   étonnant pour  une ville proche  de la Défense mais  aussi lorsqu’on prend en compte  l'utilisation croissante des  plateformes et le peu de  temps  où les  films restent  à l'affiche.

L'autre  surprise  de  l'année  c'est l'augmentation des  places  de  stationnement  payantes. C'est sans  doute  le  remboursement de la dette de  la ville  au délégataire  qui a  construit  le  parking  de  la  place  de  la  Liberté  qui  a  poussé cette dernière à  lui céder de nouvelles  places  de  stationnement  puisque  c'est ce délégataire qui  gère le stationnement  en surface.

 


  Déjà en   2013, le  Retour  du passé  avait  alerté  de  la  menace  de  l'extension du stationnement  payant  en  surface . C'est désormais dans  la quasi totalité  des rues du  quartier  nord que  le stationnement . L'argument  évoqué  est  la  présence  de  voitures  ventouses   mais  la  réalité  est  plus prosaïque, il s'agit  de   renflouer  la  dette  du  parking  dont  l’échéancier  est le  suivant:

Le remboursement de la participation de la ville s’effectue de  2010 à  2040 suivant l’échéancier suivant:
170 000€ en 2010
210 000 € en 2011
254 000 € en 2012
254 000 € en 2013
394 000 € en 2014
394 000 € en 2015

424 000 € de  2016 à 2040 Encore  17 ans  à rembourser  le  parking  de  la  place  de  la  Liberté. 

La  double  peine  pour  les  garennois  qui remboursent déjà le  parking  et  risquent  d'être  verbalisés

Dormez  bien et  bonjour  chez  vous