INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

vendredi 29 novembre 2013

L' angoisse de la page blanche ou museler l'opposition


              Tout garennois aime lire le bulletin municipal, souvent déçu par son contenu, il y retrouve des événements dont il n'avait même pas été au courant, découvre les garennois mis à l'honneur dans la page" playmate of the month" et peut aussi s'amuser à compter combien de fois le maire du Village, qui fait tout depuis le siège arrière de sa voiture de fonction, apparaît  comme  Charlie,  dans le journal. Mais dans l'édition du mois de novembre, le maire du Village, qui fait tout depuis le siège arrière de sa voiture de fonction, a réussi à museler l'opposition. Contraint par la loi à ne plus écrire dans le bulletin municipal six mois avant les élections municipales, il a supprimé également les tribunes de l'opposition au motif que les textes avaient été déposé trop tardivement. On doute que les conseillers d'opposition aient renoncé à bénéficier de cette tribune libre qui leur permet d'être  lus  par  toute  la commune.
Cette technique  était  un des  exercices favoris  de l'ancien  maire  Max Catrin, qui  s'arrangeait  pour  que  les  conseillers  d'opposition n'aient  pas  le  temps de  déposer  leurs questions  pour le  conseil municipal .
Le maire du Village, qui fait tout depuis le siège arrière de sa voiture de fonction, aurait-il retenu les leçons de  son mentor  qu'il a  fini par  assassiner  (politiquement ) et se  comporterait-il désormais  comme  l'ancien maire déchu ?
Nous avons  retrouvé  cet  article (l'article  complet)  du Parisien de  2002 intitulé les remèdes du Docteur  Juvin  à La  Garenne
Satisfait et  jovial le docteur Juvin. Un an après avoir renversé Max Catrin, « remercié » après plus de vingt-cinq ans de mandat, le nouvel édile RPR de La Garenne savoure plus que jamais son succès. « Il règne actuellement un petit vent sympathique dans le petit village de La Garenne, convient Philippe Juvin. Et les Garennois semblent plutôt satisfaits. » « Son élection est ce qu'il pouvait arriver de mieux à la commune, explique une résidante du quartier de la mairie.
Il est jeune et plein de bonne volonté. Avec lui est arrivée l'ère du changement. » Et ce changement, ce fut d'abord le dialogue et la concertation instaurés par le maire. Deux maîtres mots de Philippe Juvin, qui, depuis son élection, a eu pour principale préoccupation de mettre en place des structures d'écoute et d'échange comme la création d'une permanence sans rendez-vous. Une petite révolution. La plupart des initiatives prises par la nouvelle majorité sont même systématiquement débattues en commission où se retrouvent les différents acteurs concernés. ....
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Les autres projets de la ville ? La remise à niveau des structures communales et notamment les crèches, les écoles ; lutter contre l'insécurité avec la création d'une police municipale. « Tout sera opérationnel dès la fin 2002 », assure Philippe Juvin. Mais cet élogieux tableau a quelques éraflures. L'opposition semble aujourd'hui ne plus croire « aux bonnes actions » du premier magistrat de la ville. « Ses bonnes résolutions n'ont duré que cent jours, ironise Christophe Macé, président du groupe de la gauche plurielle. La communication entre élus n'est plus possible. Les différentes commissions créées jusque-là ont été supprimées. Nous n'avons pas le droit de disposer d'un local de permanence en mairie. Nous ne sommes jamais invités aux manifestations publiques. Rien n'a changé par rapport à l'ère Catrin. .....

Dormez  bien et  bonjour chez  vous


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