INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

lundi 29 novembre 2010

Le docteur du lundi

Eh oui, c'était le docteur Destouches alias Louis Ferdinand Céline qui naquit dans la ville voisine de Courbevoie.
( Céline avait participé  à l'élaboration du dentifrice sanogyl)


 En 1932 Céline dut se contenter du Prix  Renaudot. Le Goncourt fut attribué à Guy Mazeline pour Les loups et le Fémina à Ramon Fernandez critique littéraire d’un journal de gauche à 38 ans (1932), communiste à 40 ans (1934), fasciste à 43 ans (1937), enfin collabo à 46 ans (1940).
L' Interallié allait  à Simone Ratel
Plus sur Ramon Fernandez

Aujourd'hui un nouveau docteur qui aurait pu être maire du " village ":

  Et pour les médecins férus de littérature un petit site pour se préparer à une  retraite active: ICI 

Dormez bien et bonjour chez vous

1 commentaire:

  1. Ramon Fernandez: En 1937, soudain, son destin bascule. Fasciné par Jacques Doriot, Ramon Fernandez adhère au PPF, qui deviendra, dès 1940, le principal parti collaborationniste et participera à la rafle du Vél' d'Hiv'. Pendant toute l'Occupation, il porte l'uniforme bleu clair, le brassard orné de la croix celtique et le béret basque de ce mouvement pronazi. Il participe, en 1941, au voyage infamant de Weimar avec Brasillach et Bonnard, chante la gloire de Goebbels sur Radio-Paris, exalte l'homme nouveau dans les meetings et vomit dans «la Gerbe» les écrivains décadents. S'il n'a rédigé aucun article antisémite ni dénoncé quiconque, il a pactisé avec les nazis et offert son talent à leur entreprise de désinformation, son silence à leur machine de destruction. Doué d'intelligence, mais avec l'ennemi, il est mort, à Paris, d'une embolie, le 2 août 1944, deux semaines avant la Libération. Il avait 50 ans.

    Dominique Fernandez, le fils de Ramon se souvient des diners chez lui rassemblant nombre de fascisants, dont Kleber Haedens. Au regard de ce qui est au dessus, il est difficile de croire que kleber Hadens méritait bien un école de la république, comme on a tenté de nous le faire croire ...

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