INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

samedi 23 mai 2020

La rançon de la gloire


 Pendant la  crise  sanitaire  le  maire  du Village  s'est  hissé  au rang  de  célébrité,   décrit  comme  le  médecin qui parlait "cash" . Le  maire  du  village, homme  politique , a été  le  mister  Hyde  du Docteur  Juvin avec des  prises  de  positions parfois violentes  contre  le  gouvernement , oubliant  un peu  les coupes  sombres  qu'avaient  fait  ses  amis  politiques  dans  le  budget  de  la  santé, et  aussi qu'il avait  aidé  le candidat  éphémère  Fillon dans  son projet  pour  la  santé.

Invité de BFMTV, le chef du service des urgences à l'hôpital Georges-Pompidou a jugé que la France est "un pays sous-développé en matière de santé", car elle n'est pas "capable de donner un masque à ses soignants".   19mars 2020

Philippe  Juvin exprime  quelques  regrets  de s'être un peu  trompé :

Invité ce mercredi 20 mai sur LCI pour parler, entre autres, de la prime versée aux soignants, Philippe Juvin a été confronté à ses propres contradictions. Le chef des urgences à l'hôpital Georges-Pompidou, qui est aussi maire LR de La Garenne-Colombes, a reconnu qu'il s'était "trompé" et a invité les autres politiques à faire de même. Philippe Juvin serait-il allé trop vite en besogne ? Comme de nombreux scientifiques depuis le début de la crise sanitaire, le médecin anesthésiste-réanimateur a changé plusieurs fois de discours face à la pandémie. Invité sur le plateau d'Audrey & Co ce mercredi 20 mai, le chef des urgences à l'hôpital Georges-Pompidou, a été mis face à ses propres contradictions par Thierry Moreau : "Est-ce que le gouvernement, comme tous les autres hommes politiques, n'a pas avancé au jour le jour ? Par exemple, quand vous disiez le 2 février, 'le vrai sujet, ce n'est pas le coronavirus, c'est la grippe'", a-t-il rappelé en préambule. Et Philippe Juvin de se justifier : "C'est parce que c'était vrai le 2 février!" Le journaliste a cité un autre exemple : "Le 26 février, vous disiez 'le lavage des mains est très important (...) plus que d'acheter des masques, achetez du gel hydroalcoolique'. Après, vous avez changé d'avis, comme tout le monde. Est-ce que tout le monde n'a pas navigué à vue dans cette histoire, depuis le début ?", s'est interrogé Thierry Moreau. Philippe Juvin s'est alors expliqué, en s'appuyant sur une métaphore historique : "Il y a deux descriptions de la bataille de Waterloo dans la littérature française, il y a Stendhal et il y a Victor Hugo. Victor Hugo est à 2000 mètres d'altitude, il comprend tout. Stendhal, son héros, est dans le champ de bataille (...) A la fin de la journée, il ne sait pas s'il y a eu une bataille, qui l'a gagnée et contre qui c'était. Donc c'est évident que c'est plus facile avec le recul." "Ce n'est pas honteux de se tromper" Celui qui est aussi maire Les Républicains de La Garenne-Colombes a ensuite reconnu qu'il s'était "trompé" : "C'est normal d'avancer au coup par coup, mais au moins, reconnaissons les erreurs. Moi je me suis trompé. Par exemple, un mois avant, je pensais qu'il n'y aurait pas de confinement général, je pensais qu'on confinerait partiellement la population. Et je me suis trompé. Je le dis : 'je me suis trompé'", a-t-il expliqué sur le plateau d'Audrey & Co, rappelant "que ce n'était pas honteux de se tromper". Philippe Juvin en a profité prendre l'exemple des hommes et femmes politiques, qui devraient, selon lui, reconnaître les erreurs commises depuis le début de cette crise sanitaire : "Il faut que les hommes politiques acceptent de dire : 'nous nous sommes trompés'. C'est quelque chose qu'ils ne savent pas dire. S'ils disaient 'nous nous sommes trompés', ça les rendrait plus humains (...) Un homme politique, ça peut se tromper", a affirmé le maire LR. Et de conclure : "Ils ne veulent pas dire qu'ils se sont trompés, c'est une erreur". Le message est passé, reste à savoir s'il sera entendu.
Et au Village, ne s'est -il pas aussi parfois trompé ??
Dormez  bien et bonjour chez  vous  , continuez  de  vous  protéger  encore  et  encore.

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