INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

jeudi 10 mai 2012

Message personnel d'un 10 mai


Le vote pour François Hollande avant d’être un vote d'adhésion est un vote de rejet du clan Sarkozy.
Rien  à  voir avec l'espoir du  10 mai 1981.
Après cinq ans de copinage, magouilles ,conflits d'intérêt, il serait malvenu que le premier ministre du nouveau  gouvernement ne soit pas irréprochable.


Refusons Jean Marc Ayrault comme premier ministre

"Un dossier est passé par le cabinet du doyen des juges d’instruction sans faire de bruit. En novembre 2001, une plainte avec constitution de partie civile y est enregistrée contre Jean-Marc Ayrault sous le numéro pc 01/00121. Les qualifications retenues ont de quoi gâcher les soirées du député-maire : «détournement de fonds publics, corruption, favoritisme, soustraction et détournement par dépositaire de l’autorité publique, intimidation et trafic d’influence». Rien que ça. Denis Liquet, adjoint au personnel est soupçonné des mêmes infamies. Mais la plainte a fait l’objet le 30 avril d’un refus d’instruire, arguant que les faits sont trop vieux, et donc prescrits. Après appel, c’est désormais à Rennes que se jugera la question. Ces choses présumées mais pas correctes concernent les marchés publics passés et réalisés lors de la construction de la Cité des Congrès. C’est un ingénieur alors «conducteur d’opération chargé de la direction technique hors cadre», Daniel Barbier*, qui est à l’origine de cette plainte. L’ingénieur avait alors en charge le palais des congrès et la deuxième ligne de tram. Il dit avoir reçu en 1993 l’ordre de signer des prestations fictives et missions d’études sans objet, du fait des modifications de programme. Le tout pour un montant conséquent de plusieurs millions de francs. Il refuse. 48 heures plus tard, il est dessaisi du dossier." 


Dormez bien et bonjour chez vous 

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