INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

jeudi 21 novembre 2019

Le pactole

C'était en 2003 :

Nous  avons  reçu  ce  commentaire  que  nous  publions  intégralement. Nous  avons  apporté quelques  précisions  au texte.
Visiblement  Philippe  Juvin  a  des relations  privilégiées  avec  Franco- Suisse puisqu'il réussit  a  obtenir  la  coquette somme de 97500 € de la  part  de  Franco-Suisse  en un  temps  record  alors  que  des  copropriétaires  s'échinent  à récupérer  auprès du promoteur et  de  son assurance depuis plus de  deux  ans,  des  indemnités  pour des  contrefaçons 



ASSOCIATION INTER-RÉSIDENTIELLE DES VICTIMES DE FRANCO SUISSE - AIVFS - Association déclarée le 7 octobre 2017 (récépissé n° W923006488) COMMUNIQUÉ - 9 NOVEMBRE 2019 « FRANCO SUISSE PÂTIT DE L’EXCELLENCE »

 La chronique juridique de l’AIVFS s’enrichit aujourd’hui d’un énième dossier impliquant le promoteur-constructeur Franco Suisse. Cette nouvelle affaire, révélée hier par Mediapart  et relayée par le quotidien régional Sud Ouest puis par Le Parisien et Capital, tient probablement davantage de l’histoire de corne-cul que du vieux scandale politico-financier de la Garantie foncière. Elle démontre néanmoins, une fois de plus, la singulière aptitude de Franco Suisse à occuper l’espace juridictionnel franco-français et à en supporter les lourdes conséquences financières, doublée d’une propension à s’exposer au risque du banc d’infamie plutôt que privilégier la complète maîtrise de ses opérations afin d’en prévenir la survenance : mauvais calcul, car la société perd la quasi-totalité des procès qui, par dizaines, sont dirigés contre elle ; mais stratégie assumée, car ses ressources dédiées aux frais d’acte et de contentieux semblent inépuisables alors que celles affectées à la bonne conduite de ses chantiers sont manifestement réduites au minimum. La société Franco Suisse refuse aux syndicats de copropriétaires des résidences "Villa Felicia" de Fontenay-le-Fleury (Yvelines) et "Villa Diana" de Chaville (Hauts-de-Seine) de s’engager au versement d’indemnités amiables destinées à réparer celles des malfaçons les plus criantes que son assureur patenté en garantie décennale (AXA) exclut - à tort ou à bon droit, la justice aura peut-être à l’établir ! - de prendre en charge. En revanche, elle apparaît en capacité de conclure un arrangement avec le maire de La Garenne-Colombes (Philippe Juvin NDLR) (Hauts-de-Seine). Cette transaction privée ne s’arrête pas au montant de 97 500 euros avancé par Mediapart : s’y ajoute en effet celui, non précisé, obtenu par deux autres requérants, riverains eux aussi de la future "Villa Melina" (Permis de construire n° 092 035 16 E 0043 en date du 7 mars 2017), programme commercialisé au prix de quelque 8 500 euros le mètre carré (hors parking) et livrable dans un an. C’est dire que Franco Suisse, que ce soit sous la contrainte de décisions de justice devenues définitives ou selon son bon vouloir, dispose du budget lui permettant de désintéresser les acquéreurs de ses résidences à l’intérieur desquelles le slogan « Bâtir l’excellence » résonne chaque jour comme une provocation. Au déni que la société Franco Suisse oppose le plus souvent - en intelligence ou non avec Axa - dans le cadre de sa défense pourrait correspondre, de la part de l’AIVFS, le dénigrement : il n’y aurait là rien de moralement répréhensible, bien au contraire, puisqu’à défaut de transaction entre les parties, le permis de construire à présent en question, possiblement entaché d’illégalité ( sauf  que  le  recours  a  été  fait  quelques  jours avant  le  délai de  purge  NDLR), risquait d’être annulé par le juge administratif. L’association des victimes de cette entreprise est, de fait, inspirée par une démarche de nature différente : même si elle ne s’interdit pas d’exercer publiquement son droit à la critique (dans une perspective de protection des intérêts du prospect), elle a vocation statutaire à participer, par son action de communication, à la restauration des valeurs affichées par "Franco Suisse" et, au-delà, à concourir à la reconnaissance des compétences des promoteurs immobiliers respectueux des normes de construction édictées par les pouvoirs publics, des règles de la sous-traitance et des engagements contractés à l’égard des acquéreurs.
 Jean-François Gavoury Président de l’Association inter-résidentielle des victimes de Franco Suisse (AIVFS) Siège : 9, rue des Petits Bois 92370 Chaville
Mél : airvfs@gmail.com
Notre  confrère  du Retour  de  Buzz  nous  parle  de  la  danseuse  du maire  du  Village

Dormez  bien et  bonjour chez  vous.

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