Nous avons reçu ce commentaire que nous publions intégralement. Nous avons apporté quelques précisions au texte.
Visiblement Philippe Juvin a des relations privilégiées avec Franco- Suisse puisqu'il réussit a obtenir la coquette somme de 97500 € de la part de Franco-Suisse en un temps record alors que des copropriétaires s'échinent à récupérer auprès du promoteur et de son assurance depuis plus de deux ans, des indemnités pour des contrefaçons
ASSOCIATION INTER-RÉSIDENTIELLE DES VICTIMES DE FRANCO SUISSE - AIVFS - Association déclarée le 7 octobre 2017 (récépissé n° W923006488) COMMUNIQUÉ - 9 NOVEMBRE 2019 « FRANCO SUISSE PÂTIT DE L’EXCELLENCE »
La chronique juridique de l’AIVFS s’enrichit aujourd’hui d’un énième dossier impliquant le promoteur-constructeur Franco Suisse. Cette nouvelle affaire, révélée hier par Mediapart et relayée par le quotidien régional Sud Ouest puis par Le Parisien et Capital, tient probablement davantage de l’histoire de corne-cul que du vieux scandale politico-financier de la Garantie foncière. Elle démontre néanmoins, une fois de plus, la singulière aptitude de Franco Suisse à occuper l’espace juridictionnel franco-français et à en supporter les lourdes conséquences financières, doublée d’une propension à s’exposer au risque du banc d’infamie plutôt que privilégier la complète maîtrise de ses opérations afin d’en prévenir la survenance : mauvais calcul, car la société perd la quasi-totalité des procès qui, par dizaines, sont dirigés contre elle ; mais stratégie assumée, car ses ressources dédiées aux frais d’acte et de contentieux semblent inépuisables alors que celles affectées à la bonne conduite de ses chantiers sont manifestement réduites au minimum. La société Franco Suisse refuse aux syndicats de copropriétaires des résidences "Villa Felicia" de Fontenay-le-Fleury (Yvelines) et "Villa Diana" de Chaville (Hauts-de-Seine) de s’engager au versement d’indemnités amiables destinées à réparer celles des malfaçons les plus criantes que son assureur patenté en garantie décennale (AXA) exclut - à tort ou à bon droit, la justice aura peut-être à l’établir ! - de prendre en charge. En revanche, elle apparaît en capacité de conclure un arrangement avec le maire de La Garenne-Colombes (Philippe Juvin NDLR) (Hauts-de-Seine). Cette transaction privée ne s’arrête pas au montant de 97 500 euros avancé par Mediapart : s’y ajoute en effet celui, non précisé, obtenu par deux autres requérants, riverains eux aussi de la future "Villa Melina" (Permis de construire n° 092 035 16 E 0043 en date du 7 mars 2017), programme commercialisé au prix de quelque 8 500 euros le mètre carré (hors parking) et livrable dans un an. C’est dire que Franco Suisse, que ce soit sous la contrainte de décisions de justice devenues définitives ou selon son bon vouloir, dispose du budget lui permettant de désintéresser les acquéreurs de ses résidences à l’intérieur desquelles le slogan « Bâtir l’excellence » résonne chaque jour comme une provocation. Au déni que la société Franco Suisse oppose le plus souvent - en intelligence ou non avec Axa - dans le cadre de sa défense pourrait correspondre, de la part de l’AIVFS, le dénigrement : il n’y aurait là rien de moralement répréhensible, bien au contraire, puisqu’à défaut de transaction entre les parties, le permis de construire à présent en question, possiblement entaché d’illégalité ( sauf que le recours a été fait quelques jours avant le délai de purge NDLR), risquait d’être annulé par le juge administratif. L’association des victimes de cette entreprise est, de fait, inspirée par une démarche de nature différente : même si elle ne s’interdit pas d’exercer publiquement son droit à la critique (dans une perspective de protection des intérêts du prospect), elle a vocation statutaire à participer, par son action de communication, à la restauration des valeurs affichées par "Franco Suisse" et, au-delà, à concourir à la reconnaissance des compétences des promoteurs immobiliers respectueux des normes de construction édictées par les pouvoirs publics, des règles de la sous-traitance et des engagements contractés à l’égard des acquéreurs.
Jean-François Gavoury Président de l’Association inter-résidentielle des victimes de Franco Suisse (AIVFS) Siège : 9, rue des Petits Bois 92370 Chaville
Mél : airvfs@gmail.com
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Dormez bien et bonjour chez vous.
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