INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

vendredi 15 mars 2013

Allô, non mais allô quoi ? T'es un maire tu n'as pas de pouvoir



         Dans un communiqué de presse, le maire du Village s'en prend   à Jean Marc Ayrault qu'il accuse de vouloir "confisquer le pouvoir des maires" sur la question du Grand Paris.  Ce projet  pharaonesque  prévu par l'ancien  pouvoir prévoyait entre autres un super métro et une gare TGV  à la place de l'ancienne gare de triage de La Folie.
         On peut  se demander  si  priver les maires de certaines décisions n'est pas parfois salutaire; souvent lorsqu'ils valident certains projets, ils  privilégient  leurs amitiés politiques et les décisions prises au sein de leur formation politique  aux réels  besoins de leurs électeurs .
          Au Village, ce fût le cas par deux  fois, d'abord, lorsque la municipalité  a exaucé les souhaits de Nicolas Sarkozy en cédant  une partie du territoire du  Village  à l'Epadesa tout  en faisant miroiter aux  garennois les  juteuses retombées financières pour la commune.

Pour l'autre fois , il faut se souvenir  qu'à propos de la Place de Belgique en 2001, le maire du Village claironnait:
. « Pour des raisons sans doute politiques et budgétaires, explique le nouveau maire de La Garenne, le président de la région ( majorité socialiste ndlr) semble vouloir démarrer les travaux au plus vite et ignore du même coup les intérêts des Garennois. Mais nous ne pouvons pas l'accepter. » Explications. L'absence d'acquisition foncière. Le tramway doit traverser la ville par la route nationale 112. De chaque côté, les voitures conserveraient leurs voies en empruntant, entre autres, la rue Kléber. « Afin d'éviter l'enclavement de l'îlot Kléber qui va être coincé entre la rue et le tramway, la région devait acheter les terrains », rappelle Philippe Juvin. Mais aujourd'hui ce rachat n'est plus d'actualité. D'où le risque « d'accentuer la paupérisation de la zone limitrophe », s'inquiète le maire de La Garenne. L'aménagement de la place de Belgique. Autre point de conflit, la place de Belgique, déjà coupée en deux par la nationale.
 Le maire souhaiterait un réaménagement complet de la place de façon à créer une zone piétonnière. « (Voir l'article complet)

On connaît la suite.

Pas de projet  Foster à l'époque, la municipalité cette fois ci a exaucé les voeux du Conseil Général ( majorité UMP ndlr). Et comme  aux Champs Philippe , c'est la SEM92 qui a pris les commandes et a transformé la place de Belgique  en carrefour  où  trône le furoncle Foster.
On a pu apprécier  l'effet "courant d'air"   d'une telle réalisation pendant la période neigeuse de mardi.


Dormez bien et bonjour chez vous




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