En février 2012 , le maire du Village proposait un communiqué de presse qu'il avait intitulé
Avec les maisons de santé pluridisciplinaires, le docteur François Hollande a-t-il abusé de la fumette ?
Lorsque l'on lit l'éditorial du maire du Village dans le dernier bulletin municipal, on pourrait se poser la même question à son sujet.
Pour le projet des Fauvelles ( Eco-campus Engie construit par Nexity) qui n'est n'est pas si nouveau puisque des études avaient été commandées( notre post du 9 juillet dernier), le maire du Village nous fait croire qu'il a montré les crocs en menaçant de préempter si les promoteurs n'accédaient pas à ses demandes.
Il nous annonce, crèches, gymnases et même un lycée international .
Ignore-t-il que ses amis de la région ont inauguré un tel lycée à Courbevoie destiné aux " réfugiés " du Brexit .
Le maire du Village serait-il en train de se muter en coucou ( d'après la définition qu'il en donne)
lorsqu'il oublie de dire comment il a été débouté et condamné aux dépens, lorsqu'il réclamait 3 millions d'€ ( un sacré pactole) aux conseillers municipaux qui avaient exercé des recours contre la construction du parking.
l'article du Parisien du 7 septembre 2018
"Philippe Juvin a finalement décidé de ne pas faire appel après le rejet de la procédure pour recours abusifs intentée contre ses opposants.
Ils
ont attendu la toute dernière confirmation avant de crier victoire. «
C’est la fin de l’histoire », se réjouit Christophe Conway. Ce
conseiller municipal (SE) d’opposition à La Garenne-Colombes est sorti
vainqueur d’une action en justice menée par Philippe Juvin (LR) contre
son opposant et deux autres personnes. « En mars, il a abandonné sa
procédure d’appel. Le tribunal nous l’a confirmé cet été », précise
Christophe Conway.
Le fond du problème remonte à 2010, quand la municipalité décide l’aménagement d’un parking sous la place de la Liberté. Fustigeant le manque de transparence du maire, Christophe Conway, Christophe Macé un ancien élu PS, et Yves Calvet, un commerçant, multiplient les actions et déposent des recours pour retarder le début du chantier. Ils échouent et, début 2016, Philippe Juvin contre-attaque.
Il réclame 3 M€ à ses trois détracteurs via une assignation pour recours abusif. « Certains utilisent le droit à des fins politiques. Nous avons décidé de ne plus nous laisser faire», déclarait alors Philippe Juvin. Ces 3 M€ correspondent au « manque à gagner » provoqué par les recours.
« Il a voulu nous punir d’avoir eu raison ! »
Mais sa demande est rejetée en octobre 2017 par le tribunal de grande instance de Nanterre, qui estime en substance que les procédures contre le projet n’étaient pas abusives. Les magistrats condamnent également Philippe Juvin à rembourser les frais de procédure de ses détracteurs à raison de 3 000€ chacun.
« Il a voulu faire appel en décembre 2017 mais a abandonné la procédure en mars suivant », poursuit Christophe Conway. Qui regrette toutefois que « Juvin finance ses actions avec l’argent de la ville » et que la somme qu’il doit verser « ne couvre pas complètement nos frais d’avocat. Il a voulu nous punir d’avoir eu raison ! »
« Le maire a retiré son appel pour apaiser les choses, rectifie-t-on au cabinet de Philippe Juvin. Ce dossier a dix ans. Il était temps de siffler la fin de la récréation. »"
Se mute-t-il aussi en coucou lorsqu'il s'abstient lors du vote de la mise en place de la procédure de l'article 7 contre la Hongrie de Victor Orban ?
Bien qu'il justifie son choix sur son compte twitter , il omet de dire que ce choix n'était pas la consigne de vote du PPE , marquant ainsi son appartenance à une droite très conservatrice .
Ces quelques arbres siffleront-ils la fin de la récréation en 2020 ?
Dormez bien et bonjour chez vous
Le fond du problème remonte à 2010, quand la municipalité décide l’aménagement d’un parking sous la place de la Liberté. Fustigeant le manque de transparence du maire, Christophe Conway, Christophe Macé un ancien élu PS, et Yves Calvet, un commerçant, multiplient les actions et déposent des recours pour retarder le début du chantier. Ils échouent et, début 2016, Philippe Juvin contre-attaque.
Il réclame 3 M€ à ses trois détracteurs via une assignation pour recours abusif. « Certains utilisent le droit à des fins politiques. Nous avons décidé de ne plus nous laisser faire», déclarait alors Philippe Juvin. Ces 3 M€ correspondent au « manque à gagner » provoqué par les recours.
« Il a voulu nous punir d’avoir eu raison ! »
Mais sa demande est rejetée en octobre 2017 par le tribunal de grande instance de Nanterre, qui estime en substance que les procédures contre le projet n’étaient pas abusives. Les magistrats condamnent également Philippe Juvin à rembourser les frais de procédure de ses détracteurs à raison de 3 000€ chacun.
« Il a voulu faire appel en décembre 2017 mais a abandonné la procédure en mars suivant », poursuit Christophe Conway. Qui regrette toutefois que « Juvin finance ses actions avec l’argent de la ville » et que la somme qu’il doit verser « ne couvre pas complètement nos frais d’avocat. Il a voulu nous punir d’avoir eu raison ! »
« Le maire a retiré son appel pour apaiser les choses, rectifie-t-on au cabinet de Philippe Juvin. Ce dossier a dix ans. Il était temps de siffler la fin de la récréation. »"
Se mute-t-il aussi en coucou lorsqu'il s'abstient lors du vote de la mise en place de la procédure de l'article 7 contre la Hongrie de Victor Orban ?
Bien qu'il justifie son choix sur son compte twitter , il omet de dire que ce choix n'était pas la consigne de vote du PPE , marquant ainsi son appartenance à une droite très conservatrice .
Ces quelques arbres siffleront-ils la fin de la récréation en 2020 ?
Dormez bien et bonjour chez vous
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