INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

samedi 16 octobre 2010

Et si on revenait un peu Rue Voltaire

Voici ce qui était prévu pour la rue Voltaire et en dessous ce qui a été réalisé:



Et pour mieux comprendre comment le visage de notre ville a changé de  1977 à 1990
Deux schémas du POS ( actuellement PLU)
En  1977  :


En 1989:



La lecture est un peu  plus simple que l'actuel PLU le COS de chaque zone est indiqué : en multipliant ce cos par la surface de la parcelle, on obtient la SHON (Surface Hors Oeuvre Nette). Pour la Rue Voltaire le cos est passé de 1.60 à 2,on connaît la suite ....

Dormez bien et bonjour chez vous

2 commentaires:

  1. Mais qui est donc ce maire qui a dedensifier la garenne ?

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  2. @ Anonyme
    Tout cela n'est qu'une histoire de gros sous, en augmentant le cos dès 1989 l'équipe municipale permettait à tout promoteur qui avait la mise de départ de faire une opération juteuse. Le seul hic c'est que ce sont les petites industries qui ont fait les frais de cette politique et par conséquent les rentrées fiscales. Et cela n'a fait que continuer ;la commune a choisi d'attirer une population plus aisée par des constructions de standing à forte valeur locative et les rares immeubles réhabilités au titre du logement social par la ville, ont été proposés à des "amis". Pour s'en convaincre,il suffit de regarder les boîtes aux lettres de ces immeubles.

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