INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

mardi 22 juin 2010

Episode 22: Autour du Rond Point du centre-Place Jean Baillet-Rond point du Souvenir Français. L'angle Rue de l'Aigle, Rue Voltaire

A cet angle là, on trouvait le fameux Tabac de l'hôtel de Ville , autrefois "Café Français" et à l'angle de la Rue de l'Aigle, un restaurant très réputé " Rose" avec des salles différentes isolées par de grandes portes, il pouvait y avoir plusieurs mariages,baptêmes ,communions ou anniversaires en même temps. C'est l'emplacement actuel de la banque HSBC. A côté, le restaurant Primus a pris la place d'un magasin de fourrures. L'immeuble  au dessus du Café a été rénové, d'abord en crépi,  la façade est devenue style art déco un peu kitsch dans les années trente .   Toutes les traces de l'architecture des années trente auront bientôt disparu à La Garenne . L'ancienne Poste ( Arts Martiaux) a été rasée , intégrer la façade dans  la nouvelle construction  aurait permis  de conserver un peu du patrimoine garennois . Il ne faut pas oublier le nombres d'édifices livrés aux pelleteuses pour devenir de petites résidences . Qui se souvient encore de ce pavillon en bois  de l'exposition universelle de  1937 vers  le  80 Rue de l'Aigle abandonné  aux  promoteurs ?  Heureusement  que les projets d'André Malraux ministre de la culture du Général de Gaulle n 'ont pas tous abouti il n'y aurait  plus de  Grand Palais, plus de  Gare d'Orsay . Dormez bien et bonjour chez vous.











































































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