INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

mercredi 29 mai 2013

Ils sont partout

Un nouveau chantier va s'ouvrir Rue Jean Bonal à l'endroit où se trouvait la société de chauffagistes AIRESS qui comme le centre technique municipal a émigré à Bezons.


Comme  à l'époque  où Max Catrin était maire et le maire du Village,  premier adjoint, nous  voyons refleurir ces  immeubles avec leur faux toit "Mansart" en béton recouvert d'ardoises. Quand  on pense qu'il y a  douze ans,  le maire  du Village s'est fait élire parce qu'il contestait la politique  immobilière  de la municipalité dont il faisait  partie et  clamait  à qui voulait l'entendre "il n'y aura pas de bandits immobiliers  à La Garenne Colombes" et plus tard que: " sa plus grande réussite d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs", on peut être dubitatif lorsqu'on se promène aux Champs Philippe ou Place de Belgique.
 Le Village évolue comme sa rue commerçante  où bientôt  on ne comptera plus  les magasins de  vêtements, de chaussures, les banques  et les agences immobilières. Reste qu'une ombre plane sur cette  rue, c'est l'affaire des  pseudos HLM du  3  et  du 7    rue Voltaire qui revient  à la surface  avec l'affaire  de Karachi et risque  d'en emporter quelques uns comme une déferlante.
La presse est toujours  friante de ce type d'histoires .
Dormez bien et bonjour chez vous

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