INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

vendredi 10 mai 2013

Un 10 mai



Au Village, il y a 12 ans, le maire  actuel poussait son mentor ( Max Catrin) vers la sortie. Depuis celui que ses opposants appelaient "Papa je veux"  finit son deuxième mandat en ayant  bénéficié d'une année de rab pour cause de concomitance entre l'élection présidentielle de  2007 et  les municipales prévues la même année et donc retardées d'un an . Beaucoup de ses  opposants d'alors qui avaient soutenu Max Catrin  l'ont rejoint. Pendant le premier mandat  en raison de la dose de proportionnelle, il y avait  encore  trois  alliés de Max Catrin qui siégeaient  au conseil municipal.
Les garennois  peuvent apprécier  comment le pouvoir peut changer  les  individus , car  le maire  actuel du Village  qui avait  tant reproché à son prédécesseur, sa politique immobilière  s'est lancé lui aussi dans une folle tourmente immobilière.  Dans treize ans peut-être ,sera-t-il lui,  poussé lui aussi vers la sortie par un de ses dauphins.
Un vieil article du Parisien

AMER, l'ancien maire de La Garenne-Colombes. Battu en mars dernier par le jeune RPR Philippe Juvin, Max Catrin ne veut plus entendre parler de la gestion municipale. « Ce n'est plus mon affaire. Je les regarde faire... » ironise l'homme qui dirigea la mairie pendant vingt-six ans, aujourd'hui « écoeuré par toutes les calomnies qui ont circulé à son encontre », suite aux soupçons pesant sur l'ex-secrétaire général de La Garenne-Colombes pour détournement de fonds publics.
« Qu'on me laisse tranquille ! » tranche aujourd'hui l'octogénaire, de retour de vacances la semaine dernière. Même ses activités associatives locales, l'homme songe à s'en détacher progressivement. S'il néglige aujourd'hui la vie municipale, Max Catrin ne s'est pas pour autant totalement retiré de l'arène politique. Conseiller général des Hauts-de-Seine, il préside au département la commission de l'équipement et de l'environnement. On le retrouve également à la vice-présidence de l'office départemental HLM, aux côtés de Jean-Paul Dova, et à la présidence du Satese (Service d'assistance technique aux exploitants de stations d'épuration), un organisme de contrôle des usines qui polluent les eaux. 

Dormez bien et bonjour chez vous



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