Y a-t-il jamais eu des HLM à la Garenne-Colombes? La grande et les petites histoires de La Garenne Colombes. par Max Philippe Le blog qui écrit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas et révèle ce qu'on a parfois oublié de vous dire...
INTRODUCTION
Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".
Méfiez vous des contrefaçons
Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.
Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA
L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?
On n'a plus trop envie d'en rire.
Max Philippe
lundi 30 avril 2012
Demain c'est le 1er mai
Demain, on fêtera pêle-mêle:
Jeanne d'Arc, le travail, le vrai travail, le faux travail, le travail au noir,le travail fictif, ceux qui gagnent leur vie pendant leur sommeil, le travail précaire, le travail cumulé et bien d'autres.
Tous nos hommes politiques de l'extrême droite à l'extrême gauche ne nous parlent que de travail, de plein emploi, de travailleurs , de croissance, de richesse, prenons le temps de lire ce texte extrait du "droit à la presse" de Paul Lafargue qui date de 1880
Les paysans propriétaires, les petits bourgeois, les uns courbés sur leur terres, les autres acoquinés dans leur boutiques, se remuent comme la taupe dans sa galerie souterraine, et jamais ne se redressent pour regarder à loisir la nature. Une étrange folie possède les classes ouvrières des nations où règne la civilisation capitaliste. Cette folie est l’amour du travail, la passion moribonde du travail. Au lieu de réagir contre cette aberration mentale, les prêtres et les économistes ont sacro-sanctifié le travail. Les philanthropes acclament bienfaiteurs de l’humanité ceux qui, pour s’enrichir en fainéantant, donnent du travail aux pauvres ; mieux vaudrait semer la peste, empoisonner les sources que d’ériger une fabrique au milieu d’une population rustique. Introduisez le travail de fabrique, et adieu joie, santé, liberté ; adieu ce qui fait la vie belle et digne d’être vécue. Et les économistes s’en vont répétant aux ouvriers : Travaillez pour augmenter la fortune sociale ! et cependant un économiste, Destut de Tracy, leur répond : " Les nations pauvres, c’est là où le peuple est à son aise ; les nations riches, c’est là où il est ordinairement pauvre."
Dormez bien et bonjour chez vous
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